dans la peau d’un skipper, le temps d’une après-midi…
La semaine dernière, c’est à la Société des Régates d’Antibes que nos collaborateurs ont pu participer à un teambuilding très spécial : naviguer en pleine mer, aux côtés de notre Class40 IBSA, avec à son bord Alberto Bona, notre skipper qui a participé à la Route du Rhum 2022 et qui participera prochainement à la transat Jacques Vabre.
Une journée qui a débuté autour d’un déjeuner convivial avec l’ensemble des skippers de la Société des Régates d’Antibes, qui s’en est suivi par une virée en mer durant l’après-midi.
« C'était très important de venir ici, car nous avons pu naviguer avec de nombreuses personnes qui n'avaient jamais eu la chance de voir le bateau, alors qu'elles nous soutiennent depuis le début du projet. J'ai ressenti beaucoup d'enthousiasme et d'affection de la part de tout le monde. Beaucoup d’entre eux m’ont dit qu’ils n’avaient jamais vu Antibes depuis la mer et que c'était donc pour eux aussi, une expérience nouvelle et unique », nous confie Alberto.
Pendant que nos collaborateurs se sont familiarisés avec la hisse de voile, la prise de la barre et le virement de bord, Alberto Bona est sorti du port d’Antibes avec le Class40 IBSA pour naviguer autour des voiliers et hisser la voile aux couleurs d’IBSA.
C’est après un passage au siège, où Alberto a pu saluer tout le monde aux côtés de Fabrice Jover, le Directeur Général d’IBSA France, que notre skipper a repris la mer pour traverser l’Atlantique, avant la Transat Jacques Vabre.
« Pierrot et moi ne perdons pas de temps, le transfert sera l'occasion d'étudier en détail toutes les modifications que je souhaiterais également apporter au bateau avant la course."
En plus d’avoir navigué avec les collaborateurs d’IBSA France, la présence d’Alberto à Antibes a aussi permis la réalisation d’un rêve : « Jeudi dernier, j'ai rencontré et suis parti en voyage à bord avec Nathan, un garçon de 16 ans qui a perdu un bras, et qui rêvait de naviguer en Class40. Il est athlète, participe au championnat Nacra, navigue seul et ne régate pas avec des enfants handicapés. C'est un dur à cuire, déterminé, super motivé, il a tout de suite senti la force du bateau, il l'a dirigé, il m'a aidé dans les manœuvres. On sent qu'il est un garçon très indépendant et qu'il veut suivre sa propre voile. »